Des vrais potes, des bons chums
Par Pierre-Luc Gagnon • 9 septembre 2007 à 0:00Aujourd’hui je suis de bonne humeur. Pas nécessairement à cause du beau temps qui tisse sa toile, malgré la brise préautomnale, ni à cause des circonstances actuelles de ma vie de jeune homme dans la mi-vingtaine. En fait, ce qui me rend heureux, c’est le constat de mon entourage. Je me rends compte que j’ai de bons amis sur qui je peux compter, et avec qui il m’est possible de passer de bonnes soirées de temps en temps, malgré nos horaires qui se compliquent. Il s’agit d’un hommage… et s’ils ne le lisent pas, c’est bien dommage.
Dom. Sacré bonhomme! En plus de m’avoir fortement aidé dans ma recherche d’emploi, tu es toujours partant pour prendre une bière (ou douze), juste pour jaser avec moi. Avec toi, même une Wild Cat ou une Black Label se déguste comme une fine bière. Comme si le fil des confidences masquait l’incompétence des brasseurs. Farceur dans l’âme, tu abordes toujours un fier sourire lorsque tu réussis à mettre de la crème à barbe dans mes souliers, du savon à vaisselle sur mon combiné de téléphone ou de l’Orajel sur mon verre de bière. Je t’en dois quelques-unes mon sacrament!
Habel. Maudit rebelle! Combien de soirées ai-je passé en ta compagnie, sans même un semblant de fatigue, à jouer/écouter/parler de la musique. Spécifions que chez toi, les tounes sonnent toujours mieux… c’est normal, tu encodes tes mp3 dans une meilleure qualité que moi! Toujours prêt pour une argumentation à longue échelle, vigoureuse ou non, l’obstiné que tu incarnes mène ses débats à terme. Malgré tout, c’est un honneur de perdre une engueulade contre toi. Au moins, on se sent détrôné par un vrai de vrai!
Mat. Espèce de mille-pattes (il faut parfois forcer la rime). Même si nos idées ne sont pas toujours parallèles, c’est quand même un plaisir d’échanger avec toi. Ton trait de crayon (et de souris) s’est beaucoup amélioré depuis que je te connais. Il faudrait bien qu’on réussisse à mener l’un de nos nombreux projets à terme un jour, juste pour faire mentir les statistiques. J’aime bien ça vomir des phrases absurdes avec toi, même si les personnes qui nous entourent n’arrivent pas à nous cerner.
Amélie. Très chère amie. Même si je n’ai pas passé des tonnes d’heures en ta compagnie, j’ai déjà le sentiment que tu me connais et me comprends très bien. Je peux te dire comment je me sens et je sais que je vais heurter une oreille réceptive. Merci pour les parties de Scrabble en rafale. Merci d’endurer mon humeur de chien, parfois inexplicable. Merci pour les côtes levées. Et surtout, merci de me complimenter et m’encourager dans tous mes projets. C’est très important pour moi et tu le sais.
(…)
Pour tous les autres, je ne vous oublie pas, non jamais, comme chanterait Céline Dion à tue-tête. Au contraire, vous je vous apprécie tout autant. Sauf que j’écris une chronique et non un roman.
Amis du passé, du présent et du futur, merci d’être là!
Par Pierre-Luc Gagnon
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Merci mille fois PL pour ce touchant article. Si tu prends le temps pour parler de nous, c’est que tu peux être certain qu’on t’aime autant! Tu es honnête, sincère, généreux dans tes amitiés et ton humour en bonus font de toi un vrai bon chum!! Et t’as pas idée comment ça fait du bien de t’avoir à LPS pour déconner sur des Paulette Pottel ou sur des « laissez votre numéro » ou encore des « Ouuuuiiiiiii » à la sauce Musette! Je t’apprécie énormément et je t’aime au boutte mon PL!! Merci d’être un si bon chum et de m’accepter comme je suis! Et ne crains pas, je vais continuer à te faire des coups ausstôt que j’en aurai mijoté des nouveaux!
De l’oragel dans la bière ! Hum, je te jouerai pas de mauvais coup comme ça ! Et d’ici à ce que je me tanne, j’espère bien finir par te battre 50% des fois au scrabble. À moins que tu te tannes avant moi 😛 Sans blagues, tu peux « heurter » mon oreille autant que tu veux.. mais pas trop fort!! 😛
Je suis heureux que cet article vous ait plu. Si ça vous a fait un peu plaisir, je pourrai dire que j’ai atteint mon objectif.