WALL-E est un robot qui compacte les déchets des humains. Or il semble être le dernier survivant de la planète terre si ce n’est d’une petite coquerelle qui le suit partout. WALL-E travaille sans relâche tous les jours à continuer d’empiler les déchets tout en collectionnant certains objets qui sont intriguants pour lui. Un beau jour, un gros vaisseau atteri sur la terre et laisse derrière un objet blanc en forme d’oeuf. Cet objet se révèle soudainement être un robot ultra-performant. De façon assez brutale, WALL-E fera la connaissance d’EVE, robot envoyé sur terre pour rechercher des formes de vies. WALL-E développera une profonde amitié pour EVE et la suivra jusqu’à son vaisseau-mère. WALL-E sera alors confontré à la civilisation humaine et ce qu’elle est devenue après 700 ans.

Ce film est une collaboration fort réussie entre Pixar et Walt Disney. Là où la musique de Disney nous emporte, les émotions des robots sont palpables dans leurs visages presqu’inexpressifs tant la qualité visuelle est impressionnante. Une combinaison absoluement harmonieuse, un chef d’oeuvre de beauté et pourtant, de simplicité.

Près de deux heures de musique, de sons robotiques et, finalement, si peu de paroles. Un charme incroyable pour les yeux, pour les oreilles, pour le coeur. Un film dramatique, comique, romantique  et même écologique. Une sortie agréable autant pour les enfants que pour les parents.

Je n’ai pas de comparatif parce qu’on est loin d’un mélange d’Histoire de jouets et de Cendrillon, c’est plutôt un nouveau genre, né d’une association magique. Je reverrai ce film bientôt car au delà de l’image, plusieurs détails sur notre possible futur sont probables et comme tout bon film de Disney, il y a une morale à la fin de tout ça. Je vous laisse découvrir WALL-E, vous ne le regretterez pas.

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